LES CÔTES OBSCURS DE L’ASSURANCE QUALITE

Il existe globalement deux types d’entreprises problématiques en matière d’Assurance Qualité. Celles qui n’en font pas assez, et celles qui en font trop (les premières ayant tendance à évoluer vers les secondes). Ces deux côtés obscurs ont un coût en termes de productivité, de revenus et d’engagement des employés. Dans ce billet, je partage comment une perspective systémique peut vous aider à améliorer la situation.

LES CÔTES OBSCURS DE L'ASSURANCE QUALITE

La qualité devrait être au cœur de tout ce que nous faisons. Dans certains environnements très réglementés, tels que les industries alimentaires et pharmaceutiques, l’Assurance Qualité est essentielle et hautement contrôlée.

Points de bascule de l’Assurance Qualité

Il existe cependant des points de bascule entre ne pas en faire assez, en faire bien ce qu’il faut et en faire trop. Il n’est évidemment pas toujours facile de les identifier et de les quantifier objectivement. Au cours de ma carrière, j’ai été confronté à toutes ces situations.

Dans les deux cas extrêmes, l’impact se ressentira très probablement sur

  • votre productivité,
  • vos revenus,
  • vos coûts imprévus,
  • l’engagement de vos employés, etc.

Ma suggestion d’amélioration est d’adopter une approche systémique à la fois pour mesurer/auditer et pour transformer/implémenter des solutions.

Ainsi, le Modèle de Résonance Systémique (MRS) évaluera trois piliers principaux (le projet de base, la perspective humaine et la gouvernance) et la manière dont ils sont interconnectés.

Cela donnera une image complète comprenant la vision, la stratégie, le bien-être, la volonté, la confiance, la résilience, etc. avec des pourcentages et des distributions. Super puissant.

Par exemple, un diagnostic par le biais du MRS peut mettre en évidence une déconnexion entre la direction et le personnel de terrain.

En conséquence, certaines décisions prises pourraient ne pas avoir de sens d’un point de vue pratique. La conséquence sera une diminution de la productivité voire une augmentation du risque d’accident.

Une bureaucratie excessive

De même, une bureaucratie excessive est souvent observée lorsque l’on en fait trop. Cela peut s’expliquer par un manque de formation du personnel, un manque d’autodiscipline (comme le souligne Jim Collins dans son livre De la performance à l’excellence), ou généralement un mélange des deux.

Encore une fois, le MRS mettre facilement en évidence ce souci en questionnant par exemple si le plan d’action a vraiment du sens et/ou si les employés se sentent valorisés (par la formation continue notamment).

Commentez ci-dessous et je serai heureux d’interagir et/ou de planifier un diagnostic au sein de votre organisation.

Si vous avez l'article, partagez-le !

Laisser un commentaire

%d blogueurs aiment cette page :